L'atelier commence par un rappel des généralités sur la nature et l'épaisseur de la table de roulement, la présence ou non d'une semelle, sa nature (dépron ou liège), son épaisseur, les traverses utilisées (ici, pré-percées à 4 trous, pour du rail code 100 pour pose sans selle), leur mode de fixation (ici, adhésif double face de moquette, plus rapide que la colle à bois), le profil (double champignon ou Vignole) et la hauteur (143, 124/125 ou 100) du rail et, enfin, le schéma de pose (issu des cahiers du modélisme de Gérard Huet) qui détermine pour les anciennes compagnies ou la SNCF la longueur des coupons, le nombre de traverses et leur disposition (symétrique ou non suivant qu'il s'agisse d'une voie banalisée ou non).
- André, Rolf et Alain
Ensuite, chaque stagiaire effectue ses tracés et reporte l'emplacement des traverses sur la semelle.
- photo : JF Lavrut
L'adhésif est collé et les traverses posées : les tire-fonds peuvent être mis en place, puis enfoncés tout en maintenant le profilé, au moins pour les traverses d'extrêmité et quelques traverses intermédiaires. Ensuite, les traverses restantes sont complétées, idéalement avec un outil détourné du modélisme naval (une presse à enfoncer les clous de bordé).
- photo : JF Lavrut
Au bout d'environ 1H30, on obtient ceci :
- Georges, Gilles, François et son épouse Isabelle, Sandra
- atelier_LD3.jpg (131.95 Kio) Vu 4914 fois
- Michel et Jean-Marc
Retrouvez le plaisir du modélisme en le faisant vous-même ! soyez acteur de votre passion... C'est facile en club !
